703 Cléopâtre Darleux a participé à sa première journée d’entraînement à Metz Handball, après s’être engagée jusqu’à la fin de saison 2024/2025. Hors jokers médicaux, il est plutôt rare de voir une joueuse intégrer le collectif de Metz Handball en cours de saison, il est d’autant plus rare de voir une joueuse de la stature de Cléopâtre Darleux arriver dans ces conditions. La dernière situation semblable, dans des circonstances bien différentes, avait été la signature de Grâce Zaadi au début du conflit entre la Russie et l’Ukraine. Il y avait donc une certaine émulsion autour de la salle d’entraînement de Metz Handball ce mardi après midi.Fraîchement arrivée du Finistère, la gardienne internationale Française s’est prêtée au jeu de la conférence de presse face aux médias locaux réunis pour l’occasion, avant de prendre part à une séance d’entraînement.Après une traditionnelle introduction de la séance par Emmanuel Mayonnade, glissant au passage un mot pour sa nouvelle recrue (pas un de plus), c’est une séance tout à fait classique qu’ont abordé les Dragonnes. Après une série d’exercices dictés par le préparateur physique Samuel Breton et un jeu d’échauffement, c’est à sept contre sept et en terrain complet que l’entraînement s’est poursuivi, avec bien évidement un partage régulier des temps de présence sur le terrain pour les trois gardiennes. Dans une interview postée sur les réseaux de Metz Handball, Cléopâtre Darleux s’est exprimée sur divers sujets entourant sa venue à Metz Handball. Heureuse de pouvoir partager le terrain avec certaines coéquipières de l’équipe de France avec qui des liens sont déjà bien tissés, la bretonne d’adoption a tenu à marteler sa volonté jamais ébranlée de gagner coûte que coûte. Revenant également sur son premier passage à Metz Handball, elle a pu évoquer son caractère « bien plus fort à l’époque qu’aujourd’hui » mais aussi ses souvenirs, notamment aux côtés d’Amandine Leynaud.