139 Depuis ce mardi, Metz Handball sait qu’il débutera en 1/2 finale avec Vipers Kristiansand pour son EHF Final 4 de Ligue des Champions. Les Messines tenteront de se qualifier en finale le 4 juin prochain. En 2019, Metz faisait office de petit poucet lorsqu’il avait participé au tout premier EHF Final 4 de son histoire. Certes, cet événement était également inédit pour Vipers Kristiansand mais le collectif d’Emmanuel Mayonnade était le plus inexpérimenté des quatre concurrents. En terminant au pied du podium, le conte de fée s’était transformé en déception. Les Messines avaient alors déjà pris rendez-vous pour vivre une meilleure expérience. Trois ans plus tard après deux saisons infructueuses, le club de Thierry Weizmann retrouvera Budapest, une deuxième fois. Exploit réalisé par très peu de chanceux. Depuis l’apparition de cette formule en 2013/2014, seuls Gyor, le Vardar, Rostov, Buducnost, Vipers Kristiansand et Bucarest se sont invités à la fête au moins deux fois. Qualifié depuis le 2 avril, après la disqualification de Rostov, Metz attendait les trois adversaires potentiels de son prochain EHF Final 4. C’est chose faite avec les qualifications de Gyor (21-21 et 35-23 contre Brest), de Vipers Kristiansand (25-32 et 33-24 contre Krim) et de Esbjerg (25-26 et 27-27 contre Bucarest). Trois équipes que les Messines ont déjà croisé par le passé avec un bilan plus ou moins positif. Jamais deux sans trois ? Finalement, comme en 2019, Metz Handball retrouve une équipe rencontrée en phase de groupe. Cette année-là, les Dragonnes avaient battu Rostov par deux fois avant de s’incliner de deux buts en 1/2 finale. Bis repetita en 2022, mais cette fois-ci avec les Norvégiennes du Vipers Kristiansand, dominées à deux reprises en Septembre et février dernier. Mais le danger demeure face à une équipe (tenante du titre) qui est montée en puissance tout le long de cette nouvelle édition avec des joueuses expérimentées telles que Nora Mørk, Katrine Lunde et Isabelle Gulldén. Aux Messines d’écrire une toute nouvelle fin à ce début de scénario similaire… Crédit photo : Matthieu Henkinet.
