65 Le TFOC retourne à Béziers pour le quart de finale de la Coupe de France. Après avoir lourdement perdu face à la même équipe il y a une semaine, mais s’être relevé contre Marcq-en-Barœul, Terville Florange espère mettre en difficulté son adversaire. Une place en demi-finale de la Coupe de France. C’est tout l’enjeu de la confrontation entre le TFOC et Béziers. Une semaine après n’avoir rien pu faire en championnat, les joueuses de Romain Pitou retrouvent le Palais des Sports Méditerranée ce mardi à 19h. Cette fois avec l’envie d’inquiéter leur adversaire. Avec la confiance du succès face à Marcq-en-Barœul, Terville Florange croit en ses chances de qualification, même si elles sont minces. L’occasion surtout de prendre une revanche sur les Biterroises. L’entraîneur de Béziers suspendu Béziers s’avance comme le favori de ce quart de finale. Un statut justement acquis lors du dernier match entre les deux équipes. Les joueuses de Fabien Simondet n’avaient pas eu à forcer contre des Mosellanes loin d’être au complet. Mais l’entraîneur des Angels ne sera pas sur le banc. En cause, une suspension temporaire de sa licence par la Fédération française de volley-ball après un signalement. Sans connaître les raisons de cette décision, il est dans l’incapacité d’exercer ses fonctions depuis le week-end dernier, ce qui peut en partie impacter la performance de son équipe. Sarah Coulet en attaque, la solution ? De son côté, le TFOC avance toujours avec des incertitudes concernant les absences et les retours possibles. Mais Romain Pitou a peut-être trouvé une parade pour pallier les blessures. Avec Sarah Coulet réceptionneuse-attaquante, le coach mosellan stabilise sa réception. La Française a même signé l’une de ses meilleures performances depuis le début de la saison, en décrochant le titre de MVP face à Marcq-en-Barœul. Suffisant pour briser le plafond de verre du club en Coupe de France ? Depuis ses premières participations, Terville Florange reste abonné aux quarts de finale. Une victoire ce mardi constituerait sans aucun doute un exploit. Crédit photo : Julien Buret – Let’s Go Metz.
