169 La période de mercato s’intensifie pour de nombreux clubs de football. Après le départ de Kiki Kouyaté, pourrait on voir Ibrahima Niane quitter la Moselle avant le 31 janvier ? Le long dossier Kiki Kouyaté vient de se refermer avec le départ du défenseur malien vers la deuxième partie du classement de Ligue 1, du côté de Montpellier. Une affaire qui avait agité la presse pendant de long mois après de premières alertes dans les premières heures de la saison 2022/2023.Au FC Metz un autre dossier agite les coulisses (et les supporters) de longue date : celui d’Ibrahima Niane. Un temps ailier à potentiel, puis désigné relève d’Habib Diallo sur le front de l’attaque, le sénégalais ne convainc même plus les plus fidèles membres du « FC Niane ». Si la patience avait été invoquée à son retour de grave blessure, elle semble désormais épuisée et un départ semble de plus en plus inévitable. Après une première alerte du côté de l’Etoile Rouge de Belgrade au début du mois, il est cette fois question de manière de plus en plus insistante d’un intérêt de la part d’Amiens. Un club coaché par un certain Philippe Hinschberger, qui connait mieux que personne le potentiel de l’attaquant lorsque les conditions sont réunies. Cet intérêt, il l’a confirmé en marge d’un amical perdu face à Versailles vendredi, avec la franchise qui le caractérise, face à la presse locale. Je l’ai connu à Metz. Pas longtemps cette année là parceque je suis parti au mois de Novembre mais c’est un garçon qui, quand Diallo est parti à Strasbourg, a mis les six premiers buts de Metz en Ligue 1. […] Mais on est pas les seuls dessus et ce n’est pas notre unique piste. Philippe Hinschberger En effet, Ibrahima Niane pourrait continuer de susciter l’intérêt d’autres écuries et certaines rumeurs évoquent également une piste Belge. Il n’est d’ailleurs pas certain que le club à la croix de Lorraine souhaite renforcer un autre candidat aux premières places de Ligue 2… Pourtant à dix jours de la clôture du marché, il ne faudra pas être trop fine bouche au FC Metz si on souhaite se délester de l’attaquant. Crédit photo : Julien Buret (archives)