152 Le TFOC affronte devant son public Chamalières ce samedi à 19h30. Il faut impérativement des points pour les Bleues face à une équipe qui les talonne en championnat. Le meilleur adversaire pour se relancer ? Après une semaine bien difficile, c’est tout ce qu’espère le TFOC face à Chamalières. Les Bleues reçoivent, ce samedi à 19h30, l’équipe juste derrière elles au classement. Les deux défaites de suite en championnat et l’élimination en Coupe de France les obligent à un résultat positif. Le moindre point est bon à prendre dans une saison où tout peut se jouer à un détail près. Alors que Terville Florange a un calendrier plutôt dégagé sur les deux prochaines journées, il faut impérativement retrouver des couleurs dès maintenant. La maîtrise dans les moments clés L’un des moyens pour y parvenir est de mieux négocier les moments importants. Sur les dernières semaines, les Mosellanes se sont souvent trouvées sous pression. À chaque fois, elles ont manqué l’occasion de revenir au score, d’arracher un set comme contre Le Cannet, Venelles ou Marcq-en-Baroeul. C’était souvent à cause de mauvais choix à la passe, à l’attaque ou au service. Sur les deux dernières rencontres, la fatigue s’est également fait sentir dans les jambes. Après une semaine de repos et de travail, les joueuses de Romain Pitou semblent prêtes pour affronter un adversaire à leur portée. Chamalières reste sur quatre défaites de suite, dont la dernière face à Quimper. Duel remporté à l’aller Si les Chamaliéroises sont sur une série négative, elles n’ont surtout pas réussi à battre Terville Florange au match aller. Les Bleues l’avaient emporté en quatre sets dans un duel haché avec des scores assez larges. Malgré une victoire en tout début de saison, elles ont les armes pour battre à nouveau cette équipe. Il va surtout falloir se méfier de Sabine Haewegene et Akuabata Okenwa. Les deux attaquantes sortent d’un match à plus de 20 points chacune. En muselant ses joueuses, le TFOC peut facilement prétendre aux trois points. Crédit photo : Mikaël Frank – Let’s Go Metz.