290 Le TFOC défie Vandœuvre, ce samedi à 19h30, dans le derby lorrain pour terminer la phase aller de la saison régulière. Les Bleues se préparent à un déplacement difficile. Un derby pour le dernier match de la phase aller. Le TFOC se rend chez son voisin, Vandœuvre, ce samedi à 19h30 pour la 13e journée de championnat. Les Mosellanes espèrent rebondir après leur défaite face au Volero Le Cannet. Tout va dépendre du retour des absentes. Avec Lexi Hadrych et Tatiana Kulikova blessées et Corina Glaab sortie en cours de jeu à cause d’un coup reçu, Terville Florange a clairement manqué de solutions lors de sa dernière rencontre. Si Glaab devrait revenir sans problème, ce n’est pas forcément le cas des deux autres, notamment pour Hadrych. Garder le cap Si l’une des deux ou les deux sont encore absentes, l’opposition sera tout autre et bien en faveur de Vandœuvre. Pourtant, le TFOC compte seulement quatre points d’écart sur son adversaire au classement. Les joueuses de Romain Pitou sont proches d’avoir le même bilan. Avant le revers contre Le Cannet, elles ont tenu une série de quatre victoires de suite. Surtout, les trois points permettent non seulement de revenir sur le VNVB, mais aussi de rester à bonne distance de la 9e place, synonyme d’une non-participation au play-off. Si la saison est encore longue, tous les points sont bons à prendre. Vandoeuvre, c’est du costaud La tâche s’annonce pour le moins compliquée. Vandœuvre a l’une des meilleures dynamiques du championnat. Depuis début novembre, les protégées d’André Sá ont concédé seulement deux défaites face à Nantes et Levallois Paris. Ce sont finalement quatre succès en six matchs. Des performances qu’elles reproduisent en Coupe d’Europe. Le club de Meurthe-et-Moselle s’est qualifié en 1/8e de finale de la CEV Cup. C’est justement l’un des facteurs qui peut jouer samedi soir. Les partenaires de Lucie Dekeukelaire ont joué ce mardi contre la formation slovène Nova KBM Branik où elles l’ont emporté en trois sets devant leur public. Crédit photo : Julien Buret / Let’s Go Metz.
