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A l’issue d’une victoire de l’équipe de France face à la Serbie, synonyme de 1/4 de finale, Olivier Krumbholz a décidé de rappeler Orlane Kanor.

Il y a 8 mois, Orlane Kanor était victime d’une rupture du tendon d’Achille gauche. La jeune Arrière gauche ne pouvait alors plus participer aux Jeux Olympiques avec l’équipe de France. D’un retour prévu pour le mois de janvier, la Messine était finalement présente sur la feuille de match pour affronter Sävehof, le mois dernier. Grappillant des minutes de jeu pour retrouver du rythme, elle avait toutefois intégré la liste des 35 joueuses demandée par la Fédération Internationale de Handball. Ainsi, même si elle ne faisait pas partie du groupe final pour participer au Championnat du Monde, elle restait éligible en cas de besoin.

Comme l’IHF l’autorise, Olivier Krumbholz procède à un nouveau changement mais cette fois-ci sportif. Après avoir appelé la Nantaise Orlane Ahanda pour pallier la rapide absence de Laura Flippes, le sélectionneur a décidé de remplacer la Brestoise Kalidiatou Niakaté. Orlane Kanor vient renforcer la base arrière de l’équipe de France juste avant un match capital face à la Russie.

🔄 Changements dans le groupe !

➡️ O.KANOR arrive à Barcelone et fait son entrée dans le groupe. L.FLIPPES reprend également sa place dans les 1️⃣ 8️⃣.

➡️ O.ONDONO et K.NIAKATÉ, elles, rentrent en France 🇫🇷 #BleuetFier pic.twitter.com/gJyrqbmMjp

— Equipes de France de Handball (@FRAHandball) December 12, 2021

Autre bonne nouvelle avec le retour de Laura Flippes dans le groupe. La joueuse polyvalente avait été contrainte de soigner une cheville blessée durant le Tour préliminaire. Malheureusement, cette reprise est également synonyme d’un autre départ. Touchée à la cheville, la Pivot Oriane Ondono repart en France avant la fin de la compétition.

Ce lundi, les Bleues affrontent la Russie pour déterminer le classement en vue du 1/4 de finale. Le prochain adversaire des Françaises dépendra également des résultats de la Norvège, de la Suède et des Pays-Bas.

_{Crédit photo : Matthieu Henkinet/Let’s Go Metz}